Avec l’appropriation par les médias occidentaux de la crise migratoire comme point de mire, les premiers intéressés, à savoir les réfugiés, se voient placés dans un rapport de force inégal.
Observés et épiés, ces réfugiés n’existeraient presque qu’à travers les images qui les représentent, et seulement par ce dénominatif qui nous est devenu si familier.
Comment pourrait-on se dĂ©barrasser de cette Ă©tiquette qui leur colle Ă la peau au point d’éclipser tout le reste : leur histoire personnelle, leur vie, leurs dĂ©sirs, … et tout ce qui Nous dĂ©finit ?
Avec l’appropriation par les médias occidentaux de la crise migratoire comme point de mire, les premiers intéressés, à savoir les réfugiés, se voient placés dans un rapport de force inégal.
Observés et épiés, ces réfugiés n’existeraient presque qu’à travers les images qui les représentent, et seulement par ce dénominatif qui nous est devenu si familier.
Comment pourrait-on se dĂ©barrasser de cette Ă©tiquette qui leur colle Ă la peau au point d’éclipser tout le reste : leur histoire personnelle, leur vie, leurs dĂ©sirs, … et tout ce qui Nous dĂ©finit ?